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- mercredi 18 juillet 2007lien permanent
Le taon assoiffé vole en tous sens, véloce, nerveux, autour de moi, comme un karatéka qui cherche à sidérer son adversaire. Je me tiens absolument immobile et aux aguets et je le vois, soudain se poser à proximité.
Boum !...Un coup de serviette et c’en est fini…de celui-là.
Pastel : « Oliveraie à Piégon ». Travail acharné comme pour déblayer le « terrain ».
Le petit vent est bienvenu. Il fait dans les 33 °c, sous les grands arbres où je suis garé. Un papillon, comme celui de Vinsobres, me tient compagnie.
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