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- vendredi 06 juillet 2007lien permanent
Les bestioles me persécutent.
Le vent n’est pas mon allié.
Le Ventoux est indifférent.
Je me suis débrouillé. Dieu merci ! Je terminerai en atelier.
Un coup de vent a tout fait valdinguer : la planche qui n’était pas arrimée, le pastel ! Pas trop de dégâts.
Et toujours ces garces de bestioles si futées ! Mais jusque là tout va bien. La paysanne, dans les rangs de lavandes, prépare la récolte imminente en arrachant les mauvaises herbes. Elle dit que les machines de maintenant font tout tomber dans une benne qui commence déjà le travail de transformation. Ca n’a plus le charme des bottes qui restaient un temps dans les champs. Elle dit aussi qu’elle avait des abricotiers qu’ « on » lui a demandé d’arracher pour planter des vignes. « On » va maintenant la payer pour arracher ces mêmes vignes !
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