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- dimanche 17 juin 2007lien permanent
Se sentir un peu dépouillé aussi lorsqu’un tableau assez central est parti…Il était comme un repère, une présence familière bienveillante et bénéfique. On s’habituait à le rendre au jour tous les matins en ouvrant la galerie.
Mais voilà ! Il suit son aventure sous d’autres yeux, qui l’aiment et respirent désormais avec lui.
Un nouveau pastel, ici sort de l’ombre et prend sa place au centre du mur.
C’est une redécouverte qui ouvre tout une réflexion. Et ça fait 40 ans que ça dure…
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