|
notes » archive
- mercredi 30 mai 2007lien permanent
Vallée de La Rouvière pour retrouver le paysage, la nature, la permanence des éléments, pourtant en perpétuel mouvement.
A peine arrivé déjà assailli par les taons assoiffés de sang. Il fait bien meilleur. Le vent fou s’est calmé, le ciel s’est dégagé, les vignes sont rayonnantes, fébriles de vie, fiévreuses de croissance vers les fruits précieux.
Pastel : « Vignes de Mai ».
Peut-être ai-je été un peu trop tonique et insuffisamment en accord avec l’ensemble. Le suivant mauvais !
|