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- mardi 24 avril 2007lien permanent
Janine qui me demande où je vais aujourd’hui, m’exhorte à explorer de nouveaux lieux. Je n’en n’ai pas envie.
Après avoir tourné et retourné dans un de mes endroits habituels, je fais halte le long d’une oliveraie, sous de grands pins frais. Tout est très calme. Le feuillage des oliviers taillés est léger.
Il n’est pas encore midi, mais cela pourrait être l’heure de la sieste tant il fait chaud. Je commence un pastel…
Non. Je n’y suis pas. C’est devenu un tas de boue. Recommencer. M’y prendre autrement. Une tourterelle roucoule au dessus de ma tête. Pastel : « Oliveraie vers Faucon ». Mais ce n’est pas encore ça.
J’engage une petite esquisse. Un vent fort se lève. Allongé comme dans un hamac à l’arrière du Toyota porte relevée, je contemple le paysage.
Je m’endors plusieurs fois. Dans le ciel, seulement quelques nuages au dessus du Serre Rouge.
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