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- mercredi 11 avril 2007lien permanent
Le temps est dégagé, souriant. L’oliveraie où je comptais peindre est occupée par des tracteurs pour la taille.
Je vais ailleurs et d’autres oliviers m’accueillent. Je me réchauffe au soleil.
L’herbe est bien verte et drue, piquée de fleurs de pissenlits et des premiers coquelicots.
Il est midi. Même les oiseaux font la pause ! Il commence à faire chaud. Mais le vent se lève. Un coq chante au loin, les insectes s’activent.
Abandon du pastel entrepris. Il faudra procéder plus franchement. Repos à l’ombre d’un olivier. Quelle belle journée printanière!
Abandon du pastel suivant.
Ca suffira pour aujourd’hui.
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